Renault/Nissan a racheté Mitsubishi et désormais Peugeot/Citroën met la main sur Opel/Vauxhall. Au delà des spécificités du passage de main, on peut se demander ce que cela signifie pour les constructeurs engagés et notamment l’allemand Opel. Les fans de la marque à l’éclair y verront peut-être une lueur d’espoir après des années sous contrôle de General Motors.
On parle d’un deal à hauteur de 2.3 milliards de dollars (US) et qui contient toutes les opérations de nature automobile d’Opel et Vauxhall, les marques déposées, 6 usines d’assemblage et 5 usines de fabrication de composants, un centre d’ingénierie et environ 40.000 employés. General Motors garde la main sur son centre de Turin, utilisé pour des projets internationaux.
La transition va se faire petit à petit et dans un premier temps; les technologies GM seront toujours utilisées dans les produits Opel/Vauxhall avant le passage à l’architecture PSA. Les premiers modèles à en bénéficier seront des Crossover et SUV.
Et c’est là que s’arrête le ton « journalistique » de cet article.
Un peu à la manière du rachat de Mitsubishi par l’alliance Renault-Nissan, les fans de la marque sont probablement inquiets au sujet de l’identité d’Opel.
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Quand on y songe, les modèles Peugeot, Citroën et Opel sont déjà parmi les moins représentés dans nos jeux vidéo préférés (hormis rallye peut-être) et le climat actuel ne semble pas propice au retour de véhicules sportifs. Cependant, nous avons vu avec la Peugeot 308 Hybrid R que la marque sochalienne dispose du savoir-faire pour combiner sportivité et technologie de pointe.
Peut-être qu’après des tonnes de voitures banales (si elles se vendent), l’ADN d’Opel pourra réapparaître via quelques véhicules dont les gens se souviendront.